| 00:00 - 00:03 | Ça ne passe pas tout à fait comme prévu. |
| 00:04 - 00:05 | Corbière, Garrido, Simonnet, Davi et Mathieu |
| 00:05 - 00:07 | maintiennent leur candidature. Ils sont déterminés. |
| 00:08 - 00:12 | Ils font le tour des plateaux. Ils recueillent pas mal de soutiens. |
| 00:12 - 00:15 | Les groupes d’action font la gueule à Bagnolet, à Marseille. Il faudrait faire un geste |
| 00:17 - 00:19 | Faire un geste ? Retirer nos cinq candidats ? |
| 00:19 - 00:21 | S’agenouiller devant le PS et les médias ? |
| 00:24 - 00:26 | Jean Luc |
| 00:27 - 00:28 | Corbiére |
| 00:31 - 00:33 | Corbiere et les autres : ils risquent de passer devant nous |
| 00:34 - 00:36 | Nos électeurs sont désorientés. Il faudrait faire un geste |
| 00:53 - 00:58 | Dehors ... Manuel, Mathilde, Sophia, vous restez |
| 01:13 - 01:15 | Oubliez vos tableurs Excel |
| 01:15 - 01:17 | Ne vous y trompez pas : ils veulent tous nous briser. |
| 01:18 - 01:23 | Plus la pression est forte, plus il nous faut résister |
| 01:25 - 01:28 | Ce moment historique, je ne peux pas l’aborder |
| 01:29 - 01:31 | Avec des gens prêts à me poignarder |
| 01:31 - 01:34 | Tout ça. C’est la faute à Ruffin et sa bande |
| 01:34 - 01:37 | Il me fait les poches depuis qu’il nous a rejoints. |
| 01:37 - 01:40 | Ruffin, Corbière, Clémentine, ils discutent, ils intriguent dans mon dos, depuis des mois |
| 01:40 - 01:42 | Jean-Luc. Tout ça risque de nous couter pas mal de sièges. |
| 01:42 - 01:46 | C’est une affaire de loyauté. De cohérence et de loyauté |
| 01:46 - 01:48 | Jean-Luc. J'alerte sur les conséquences |
| 01:48 - 01:52 | Vous n'y êtes pas du tout.J’ai fait 22% à la présidentielle… |
| 01:53 - 01:54 | Les quartiers et la jeunesse ont voté pour nous. |
| 01:56 - 01:57 | D’une élection européenne a l’autre, on a gagné un million de voix. |
| 01:57 - 02:00 | Nous sommes en tête devant tous à Lille, Strasbourg, Mulhouse. En tête de la gauche à Marseille. |
| 02:00 - 02:03 | Bravo l’équipe de négociateurs. Vous avez plié devant les diktats faurogluksmaniens |
| 02:04 - 02:08 | En prime, on s’engage à soutenir l’Ukraine à fond la caisse |
| 02:08 - 02:13 | Et on qualifie le Hamas de terroriste. Bravo les gars |
| 02:14 - 02:16 | J’aurai dû négocier moi-même |
| 02:17 - 02:21 | Et Fabien Roussel qui me donne des leçons de morale Et qui me traite d’antisémite Ce stalinien |
| 02:27 - 02:29 | Trois campagnes présidentielles. Le bruit et la fureur |
| 02:30 - 02:34 | Tous ces efforts… On n’a quand même pas fait tout çà pour permettre au PS de sauver la mise. |
| 02:34 - 02:36 | Pour permettre à Clémentine de se la jouer en premier ministre |
| 02:41 - 02:42 | Tous ces efforts |
| 02:43 - 02:47 | pour permettre à François Hollande de revenir dans le jeu. François Hollande ! |
| 02:48 - 02:53 | Mes amis, nous entrons dans un nouveau cycle. |
| 02:54 - 02:56 | Ils veulent mettre fin à la « brutalisation de la vie politique » ? |
| 02:56 - 02:59 | Mais c’est nous qui sommes brutalisés tous les jours, par les médias et par nos partenaires |
| 03:00 - 03:02 | La partie se complique. Elle se durcit. Restons soudés |
| 03:04 - 03:07 | Finalement, je pense qu'il vise Matignon |
| 03:14 - 03:16 | Les investitures à vie ça n’existe pas |
| 03:19 - 03:23 | Adrien a été jugé et il s’est acquitté de sa peine. C’est injuste. |
| 03:25 - 03:26 | Mon fils |
| 03:31 - 03:33 | Il va falloir le débrancher. |
| 03:40 - 03:46 | Quand je pense qu’on avait un dirigeant capable. Léon Blum en 1936, il était critique d’art,. |
| 03:46 - 03:49 | Blum n’était pas au niveau d’Adrien… |
| 03:53 - 03:56 | Allez y. Mettez-y les formes |
